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20 septembre 2011 2 20 /09 /septembre /2011 17:33

Bonjour

Je me présente, je m'appelle Jessica, je suis journaliste et je travaille pour la chaine Gulli (chaine pour enfants).

Nous réalisons actuellement un documentaire de 75 minutes sur le thème le droit à la différence chez les enfants.

L'un des portraits que nous aimerions faire concerne un enfant ou adolescent (entre 8 et 14 ans) qui est victime de harcèlement à l'école.

Aussi je suis à la recherche de témoignages d'enfants et de parents qui subissent ce harcèlement.
Si jamais vous connaissez des petites filles ou petits garçons qui souhaitent m'apporter leurs témoignages.

Il est possible de témoigner à visage caché, et de modifier la voix et le prénom.
Je reste à votre disposition pour de plus amples informations.

Merci d'avance.

Jessica
01 78 94 89 07

jessicajournaliste@gmail.com

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27 août 2011 6 27 /08 /août /2011 08:20

Si vous êtes mineur, parlez-en à vos parents. Si vous êtes gêné par le fait de leur montrer votre blog ou page perso, imprimez simplement les passages posant problème.

 

Si vous êtes majeur, enregistrez et/ou imprimez les menaces et/ou insultes. Si votre hébergeur vous donne accès à l'adresse IP des harceleurs, notez-la.

 

Ensuite, suivez la procédure suivante.

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23 mai 2011 1 23 /05 /mai /2011 10:59

110505_BULLE_phoebePrinceEX.jpgJe vous avais déjà parlé de Phoebe, cette adolescente de quinze ans harcelée à son école et via Internet, et qui avait fini par se suicider. Le procès de ses harceleurs a finalement eu lieu. Ceci est une traduction d’un article que j’ai trouvé via ce lien. La traduction a été faite à la va-vite, je suis désolée si elle n’est pas très bonne.

 

Très franchement, l’affaire me met mal à l’aise. Tout ce que j'arrive à penser, c'est que j'ai de la peine pour la maman de Phoebe.

 

C’est terminé

Aucun des six ados mis en examen à la suite du suicide de Phoebe Prince n’ira en prison.

D’après un article d’ Emily Bazelon

Les procès engagés contre six adolescents à la suite du suicide de Phoebe Prince sont terminés.

Lors de la deuxième journée d’audiences, trois autres ados ont admis les faits pour appuyer la thèse des petites infractions. Ils ont tous reçu une probation et effectueront des services d’utilité publique. Et le juge Daniel J. Swords a continué avec chacun de ces cas, ce qui signifie que s’ils vont aux bouts de leurs peines, leurs casiers judiciaires seront blanchis. Les accusations criminelles graves à leur encontre ont été abandonnées.

 

Sans qu’il y ait eu audience, les procureurs ont également abandonné l'accusation en instance contre un quatrième adolescent, Austin Renaud, qui n'a jamais été accusé d’avoir harcelé Phoebe Prince mais qui a été mis en examen pour viol sur la base des allégations selon lesquelles il avait des rapports sexuels avec Prince quand elle avait 15 ans et lui 18 - une accusation qu'il a toujours niée.

 

Les procédures chargées de tensions et parfois de larmes habituelles dans un tribunal pour mineurs de Hadley, Mass., ont commencé avec l’audience de Sharon Chanon Velazquez, âgée de 17 ans. Velazquez était accusée de délits très graves après avoir été vue l’an dernier en train de harceler Prince au lycée South Hadley, où Prince, âgée de 15 ans, était en seconde et Velazquez en première. Velazquez a admit avoir harcelé Prince. Le procureur Steven Gagne a énoncé les faits sur lesquels la défense et l’avocat général se sont mis d’accord. Selon lui, en début d’année 2010, Velazquez s’est approchée de Prince dans un des couloirs du lycée et l’a appelée par un nom d’oiseau, assez fort pour que les autres l’entendent. Ensuite, le 8 janvier, Velazquez s’est approchée de Phoebe dans le réfectoire, l’a de nouveau insultée et lui a intimé très fort de garder ses distances avec le petit copain de Flannery Mullins, Austin Renaud. Selon Maître Gagne, Velazquez s’est de nouveau approchée de Prince plus tard dans la journée, cette fois-ci en cours de latin. "Velazquez a réprimandé Prince sous le nez d’autres élèves," a déclaré Maître Gagne, et un des élèves a témoigné que Prince était "physiquement bouleversée." Prince à rapporté à un des principaux adjoints de South Hadley High ce qui avait eu lieu. Quand il parla à Velazquez, elle avoua s’en être prise à Phoebe en cours de latin.

 

Flannery Mullins, aujourd’hui âgée de 18, a admis avoir semé le trouble au cours d’une assemblée scolaire (c’est-à-dire un rassemblement d’élèves) et avoir commis une violation des droits civils, même si pour ce qui est de la seconde offense, elle a pris la responsabilité des actions de Velazquez. Selon Maître Gagne, en janvier 2010, Mullins entendit des rumeurs selon lesquelles Renaud avait eu une relation avec Prince. Le 6 janvier, durant un cours d’éducation physique, Mullins "exprima par oral sa frustration à ce sujet." Prince n’était pas présente mais Mullins annonça à une camarade de classe que "quelqu’un devrait lui botter le cul." Elle déclara également à son prof de gym qu’elle était aussi en colère. Selon Maître Gagne, ces faits supportent l’accusation d’avoir mis du désordre lors d’une assemblée scolaire, ou un cours d’EPS.

 

 Toujours selon le procureur, des élèves ont entendu Mullins faire des commentaires désobligeants sur Prince entre le 8 et le 10 janvier. Il ajouta que, "on a pu entendre Velazquez dire à Mullins qu’elle était prête à frapper Prince ou à demander à quelqu’un de le faire." Quand les responsables de l’école parlèrent à Velazquez, elle leur annonça qu’elle prenait parti pour son amie, "bien que selon elle, Flannery ne lui avait pas demandé de faire quoi que ce soit en son nom." Selon Maître Gagne, à cause des rumeurs sur la colère de Mullins, Prince sécha des cours pour aller à l’infirmerie. Ceci interféra avec son droit à l’éducation, ce qui constitue une violation des droits civils, selon le procureur.

 

Ashley Longe, également âgée de 18 ans, a admis avoir harcelé Prince sur la base d’une infraction civile. Maître Gagne a annoncé que Longe avait lancé des propos insultants à l’adresse de Prince dans la bibliothèque de South Hadley High pendant l’heure du déjeuner le jour de son décès, le 14 janvier 2010. Elle a également hurlé après Prince dans le couloir à l’heure de la sortie. Quand elle vit Prince rentrer seule chez elle à pied, Longe lui lança une boîte de boisson vide depuis sa voiture. La boîte ne toucha pas Prince.

 

La maman de Phoebe, Anne O'Brien, a parlé hier au tribunal, comme elle l’a déjà fait mercredi lors de l’issue des procès de deux autres ados mis en examen à propos du décès de Phoebe. Longe est la seule des six ados pour qui elle eut des paroles gentilles. "Hier, j’ai rencontré Ashley Longe," a déclaré O'Brien. "Même si je ne cautionne pas la façon dont elle a traité Phoebe, elle est la seule à avoir reconnu ce qu’elle a fait." O'Brien a dit qu’elle ne voulait pas discuter de ce dont elle a parlé avec Longe, mais a ajouté "je suis très satisfaite du fait que la seule personne qui a pris ses responsabilités et a manifesté des remords sincères, ce que nous avons demandé depuis le 14 janvier, est Ashley Longe."

 

Au contraire, O'Brien avait auparavant accusé Velazquez de "terroriser" Phoebe. "N’aurait-elle jamais pu s’arrêter, respirer un bon coup et réaliser que ce n’est pas bien de plonger un être humain dans un pareil abîme de peur et de détresse?" a demandé O'Brien. Elle a également accusé Velazquez d’avoir déclaré, après le suicide de Prince, qu’elle se foutait de la mort de Phoebe. Velazquez se mit à sangloter en entendant cela. Après l’audience, l’avocat de Velazquez nia que sa cliente ait dit quoi que ce soit de ce genre. Il n’avait pas vu les déclarations de Mme O'Brien avant l’audience. Cette accusation n’apparaît pas non plus dans le rapport du procureur d’arrondissement sur la conduite de Velazquez. Son avocat a souligné le fait qu’elle n’a admis que les faits exposés par Maître Gagne lors de l’audience. "J’ai dit dès le premier jour que les charges visant à la tenir criminellement responsible de la mort de Phoebe Prince seraient rejetées ou qu’elle serait acquittée," a-t-il déclaré. "C’est ce qui se passe aujourd’hui."

 

Les avocats de Mullins ont fait une déclaration en son nom et en celui de sa famille pour exprimer "leur plus grande sympathie" à la famille de Prince, "dont la mort fut une tragédie à bien des niveaux, nous le reconnaissons tous." Toujours selon cette déclaration: "Aujourd’hui, nous reconnaissons qu’il nous faut nous montrer plus civilisés et compatissants les uns envers les autres dans la vie de tous les jours. … Le bureau du procureur général du nord-ouest reconnaît également qu’on fait payer trop cher pour ces questions."

 

Elizabeth Scheibel, le procureur général qui s’est occupée de l’affaire au début et qui a depuis quitté le bureau, n’est pas d’accord. Dans une déclaration, elle considère les charges comme "appropriées." Le nouveau procureur général, David Sullivan, a également défendu les charges lors d’une conférence de presse.

 

Et cependant la question demeure: si les procureurs pensaient qu’ils pouvaient prouver que les cinq ados accuses de violation des droits civils ont cause le suicide de Phoebe, pourquoi ont-ils laissé ces gosses en liberté sous surveillance et, à l’exception de l’un d’eux (Sean Mulveyhill), avec la promesse d’un casier judiciaire blanchi? S’ils ne pensaient pas pouvoir le prouver, pourquoi une accusation aussi brutale et qui attirait autant l’attention?

 

Selon l’American Bar Association (association américaine du barreau), les procureurs ne devraient porter des accusations que quand ils savant qu’ils disposent de preuves suffisantes pour les appuyer.* Depuis plus d’un an que je couvre cette affaire, il est difficile pour moi de concilier ce devoir avec la façon dont ces cas se sont déroulés. "Si on harcèle quelqu’un à mort, c’est un meurtre," m’a expliqué Joseph Kennedy, professeur de droit criminel à l’université de Chapel Hill, en Caroline du Nord, quand je l’ai appelé plus tôt cette semaine. "Mais si on harcèle quelqu’un, que cette personne se tue et que ce n’est pas quelque chose que vous aviez anticipé, ce n’est pas un crime." Même si le bureau du procureur d’arrondissement ne le dira pas, la résolution de cette semaine signifie peut-être que les procureurs ont dû accepter cette affirmation.

 

 

Correction, 9 mai 2011: A l’origine, cette phrase disait que "l’éthique oblige les procureurs à n’amener des charges qu’ils peuvent prouver dans la limite d’un doute raisonnable." Selon les normes éthiques de l’état du Massachusetts, les procureurs peuvent porter des accusations qui sont soutenues par une cause probable. L’association du barreau d’Amérique met la barre plus haut.

 

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14 mai 2011 6 14 /05 /mai /2011 08:30

La médiation est un processus coopératif qui facilite la résolution non violente d’un conflit ou le prévient par l’intermédiaire d’un tiers appelé médiateur. Cette méthode est déjà utilisée en France, dans certains lycées.

 

Plus d'information via ce lien.

 

Un grand merci à Naprous pour m'avoir transmis cette information.

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13 mai 2011 5 13 /05 /mai /2011 09:22

Quand on veut avertir une école que son enfant est harcelé ou doit subir des brimades ou des actes de violence, on peut être pris au dépourvu et avoir du mal à trouver ses mots à l'écrit. Voici un modèle de courrier dont vous pouvez vous inspirer :

 

 

 

[Prénom][NOM]

[Adresse1]

[Code Postal] [VILLE]

Tél. : 01.23.45.67.89

[Nom Destinataire]

                                                                                  [Adresse Destinataire]

                                                                                  [Code Postal] [VILLE]

 

 

 

 

Lieu, date

 

Objet : Harcèlement entre élèves

 

Madame la directrice/Monsieur le directeur,

 

 

Ainsi que j'ai pu vous le signaler de vive voix lors de notre dernier entretien du [date], mon enfant, [nom], scolarisé(e) dans la classe [nom de la classe], subit depuis plusieurs mois un véritable harcèlement de la part de ses camarades, [noms].

 

Pourtant, la loi du 4 août 2014 protège les enfants et les faits sont punis qu'ils aient lieu ou non dans les bâtiments de l'école.

 

Malheureusement, je m'inquiète beaucoup car la réalité du quotidien de mon enfant est devenue toute autre depuis qu’il/elle doit se rendre à l’école en présence de [noms]. Il/Elle fait régulièrement l'objet de brimades, de réflexions et d'intimidations visant à l'humilier et à le/la dévaloriser. En outre, [description des brimades].

 

Comme mon fils/ma fille est de nature très pacifique, il/elle a déjà essayé à maintes reprises de résoudre lui-même/elle-même le problème en dialoguant. Malheureusement, cela n’a pas marché car [noms] refusent toute tentative de dialogue.

 

Par la présente, je sollicite votre intervention afin d'informer les parents de [noms] de ces pratiques et de demander une enquête pour établir la réalité de ces faits.

 

Je tiens bien sûr à votre disposition les preuves de ce harcèlement.

 

Veuillez agréer, Madame, Monsieur, l'expression de mes respectueuses salutations.

 

 

 

 

Signature

 

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11 mai 2011 3 11 /05 /mai /2011 15:07

Bonjour,


Je suis journaliste à La Chaîne Parlementaire. Nous préparons une émission de débat sur le harcèlement et la violence entre élèves à l'école. Je suis à la recherche d'un témoignage, un élève victime et ses parents ( primaire et collège ) L'anonymat peut être respecté ( floutage des visages )

Merci d'avance


Cordialement


Marion Lefebvre m.lefebvre@lcpan.fr / 01 40 63 90 97

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2 mai 2011 1 02 /05 /mai /2011 15:29

Le magazine Sélection du Reader’s Digest recherche des témoignages anonymes ou non de personnes qui donneraient leur accord et qui puissent être jointes par téléphone.

 

Evidemment elles auront un accès à l’article avant parution pour relecture et éventuellement modification.

 

Le cœur du sujet est le cyber-harcèlement sur Internet et plus particulièrement les blogs et Facebook.

 

Si vous êtes intéressés, merci de me contacter par message privé, je transmettrai.

 

Bonne journée.

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1 mai 2011 7 01 /05 /mai /2011 14:01

phoebe.jpg

 

 

Elle s'appelait Phoebe.

Ses parents venaient de quitter leur Irlande natale pour s'installer aux Etats-Unis avec leurs cinq enfants. Phoebe, inscrite au lycée, s’était fait des tas de copains. On la disait mignonne, futée, gentille comme tout.

Mais les problèmes commencèrent le jour où le capitaine de l'équipe de football du lycée, Sean Mulveyhill, invita Phoebe à sortir avec lui, vers la fin de l'année 2009. Il avait déjà une petite copine, Kayla Narey, mais il s’était abstenu de le lui dire. Phoebe rompit vite avec lui. Cependant, il était trop tard.

Vous avez déjà vu une de ces séries américaines où les pom-pom-girls sans cervelle s'acharnent sur la fille intelligente de service ? (mes excuses aux pom-pom-girls du monde réel) C'est ce qui se passa pour la pauvre Phoebe. Sa vie au lycée – et sur Internet car les pestes du lycée eurent vite fait de repérer sa page Facebook – devint un enfer.

Les surveillants et les autres élèves voyaient bien ce qui se passait, mais ils ne dénonçaient rien. Sean ne prit jamais sa défense, bien au contraire. Un jour, Phoebe s’entendit traiter plusieurs fois de « salope irlandaise ». En rentrant chez elle à pieds, elle fut agressée par une des garces qui lui balança une canette de boisson à la tête depuis sa voiture. Quand la petite sœur de Phoebe rentra chez elle à son tour, elle trouva sa sœur de quinze ans pendue dans son placard. Phoebe souffrait tellement que la mort lui semblait plus supportable.

Par la suite, la mère de Phoebe décida de faire un procès à ceux qui ont pourri la vie de leur fille. Six mineurs en tout. Le procès a eu lieu récemment, avec des résultats qui me laissent sans voix.

C’est tellement triste qu’il faille que quelqu’un meure pour que les gens se rendent compte que le harcèlement est quelque chose d’inacceptable…

 

Des liens ici et ici.

 

 

Retour au mémorial

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28 avril 2011 4 28 /04 /avril /2011 15:14

Une recherche menée par l'Unicef et dirigée par Eric Debarbieux et Georges Fotinos, évalue à un enfant sur dix le nombre d'élèves subissant un harcèlement répété à l'école.

 

La suite se trouve ici...

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27 avril 2011 3 27 /04 /avril /2011 15:13

Les enfants qui ont un profil de harceleur cachent souvent très bien leur jeu. En général, ils feignent l’innocence quand les adultes responsables sont dans les parages pour commettre des actes inacceptables dès que ceux-ci ont le dos tourné. Si votre enfant harcèle, ne comptez pas sur lui pour venir vous l’avouer.

 

J’ai trouvé sur cette page une liste de caractéristiques qu’on retrouve souvent chez les enfants et les adolescents qui ont un profil de harceleurs. A vous d’en faire ce que vous voulez. Et si vous savez de source sûre que votre enfant harcèle, cette page est pour vous.

 

 

 

Voici la liste :

 

 

  1. Il/Elle vous désobéit régulièrement ;

 

  1. Il/Elle a mauvais caractère ou est impulsif/ve ;

 

  1. Ses enseignants se plaignent de la façon dont il/elle perturbe les cours ;

 

  1. Il/Elle aime les jeux vidéos, musiques ou films violents ;

 

  1. Il/Elle manifeste un manque de chaleur humaine envers ses frères et sœurs ou ses parents ;

 

  1. Il/Elle se montre facilement frustré(e) ;

 

  1. Il/Elle a déjà séché les cours ;

 

  1. La figure qui représente l’autorité dans sa vie se montre franchement laxiste ou extrêmement sévère ;

 

  1. Il/Elle est souvent laissé(e) seul(e) ;

 

  1. Il/Elle a déjà été blessé(e) au cours d’une bagarre ;

 

  1. Il/Elle s’oppose régulièrement à vous et se dispute avec vous ;

 

  1. Il/Elle a déjà été renvoyé(e) de l’école pour s’être bagarré(e) ;

 

  1. Il/Elle a déjà volé (des biens, de l’argent…), que ce soit à vous ou à d’autres personnes ;

 

  1. Il/Elle a déjà détruit des biens qui vous appartenaient ou qui appartenaient à d’autres personnes ;

 

  1. Il/Elle mime des scènes violentes qu’il/elle a vues dans des films ou des jeux vidéos.
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